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Le terroriste Julien Coupat vient de sortir de prison. Le célèbre épicier qui a porté atteinte à la sûreté de l’état a été aujourd’hui l’épice-centre d’un tsunami médiatique.

Cette libération est sarkozystement incompatible. Il doit évidemment s’agir d’une erreur de procès dur. D’ailleurs le Parquet, dont les dents rayent le plancher du Ministère de l’Intérieur, va très certainement faire appel à la délation.

Honte à mon pays ! Comment un tel scandale a-t-il pu se produire dans notre République ? Quelles pressions inavouables et secrètes les ultragauchistes ont-ils exercé à l’encontre de nos merveilleuses élites gouvernantes ? Quelles odieuses tractations ont-elles été négociées ? Comment se peut-il qu’un terroriste de cet acabit soit libéré au bout de 6 mois, sans qu’aucune charge ne pèse contre lui ? Mais que font ces jeunes cagoulés bienveillants qui excellent dans l’art du contre-terrorisme ? Toutes ces questions méritent des réponses claires.

La Nation vous regarde, M’am la Ministre. Un épouvantable complot est certainement en train de se tramer et vous ne pouvez rien dire pour déraison d’état. Nous le comprenons parfaitement et respectons votre silence, preuve que tout est orchestré en coulisse pour faire retourner le dangereux épicier dans son casier judiciaire et non dans sa cellule terroriste.

Ce Julien Coupat, le cerveau du gang des épiciers, doit payer pour ses crimes. Que la magistrature envoie à ses trousses ses meilleurs professionnels du barreau. Comme le juge outré Fabrice Burgaud, qui sait si bien faire l’enfant face à ses pairs ; ou encore l’efficace procureur Pierre Hontang, redoutable magistrat de haut vol de carte bancaire ; ou encore le juge Philippe Zamour, inébranlable dans ses convictions. Si, si c’est des bons. Gougeulise-les et tu verras !

Ce Julien Coupat, dont les initiales ne sont pas sans rappeler celles d’un autre dangereux meneur d’hommes, apôtre de l’ultragauche lui aussi, ose même proféré des menaces, dont la syntaxe crypto-socialo-machinchosiste ne laisse planer aucun doute :
« Chaque manœuvre par quoi ils se figurent conforter leur pouvoir achève de le rendre haïssable. En d’autres termes : la situation est excellente. Ce n’est pas le moment de perdre courage. »

Autrement dit, si on arrête pas dans les plus brefs délais les agissements terroristes de Julien Coupat, c’est lui qui tarnac.

Une réponse "

  1. Avec un nom comme ça : Julien Coupat, il y coupera pas, le pauvre !

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